Ci-dessous en vidéo, quelques unes des recherches réalisées pendant la résidence.
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J’allais oublier!
Il nous avait tapé dans l'oeil, depuis ce moment nous n'avions d'yeux que pour lui.
Nous le couvions des yeux; nous le mangions des yeux pour ainsi dire.
ça crevait les yeux.
Nous en avions profité pour lui faire les yeux doux, ça aussi ça sautait aux yeux.
Ôssilà avait accepté le rendez-vous les yeux fermés.
Depuis l'annonce du projet les artistes n'avaient pas les yeux en face des trous, ne fermant plus l'oeil de la nuit.
En fait, ils ne dormaient que d'un oeil.
Le moment de nous retrouver tous ensemble les yeux dans les yeux approchait.
Nous nous promenions côte à côte sans le quitter des yeux.
De son côté, lui -le skatepark- semblait nous narguer du coin de l'oeil.
En pénétrant l'espace ils n'en crurent pas leurs yeux : chaque module semblait leur faire de l'oeil.
Il vit cela d'un mauvais oeil; de l'intérieur le skatepark les invita à jeter un coup d'oeil tout en les gardant à l'oeil.
Lui, n'avait pas ses yeux dans sa poche. Espérant qu'on ne toucherait qu'avec les yeux.
Mais, après quelques hésitations, nous préférâmes patins et trottinettes.
Cela nous coûterait peut-être les yeux de la tête; mais pourquoi pas; nous n'avions pas froid aux yeux.
Les jours suivants, après la poudre, certains ouvrirent les yeux : comment sauvegarder sa prunelle ?
Loin des yeux, loin du coeur.
Ils n'eurent plus l'occasion de se voir entre quatre'z yeux.
A vue d'oeil, Ôssilà commençait à lui sortir par les yeux.
Comment, Lui - le Skatepark - avait il pu se mettre le doigt dans l'oeil à ce point !?
Et maintenant, ouvrez l'oeil et le bon......Oeil pour Oeil !
Frais léger joyeux !
